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« Patries », le dernier film de Cheyenne Carron sur le racisme anti-blanc: interview et bande annonce 15 avr. 2015 |
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UMP : « Les Républicains », un hold-up sémantique 14 avr. 2015 |
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VIDEO – Gaspard Proust : le nouveau nom de l’UMP 20 avr. 2015 |
Sur le sujet :
Yoann Launay est un digne descendant de Gilbert Bécaud ou de Jacques Brel par l’intensité qu’il donne à ses interprétations, enfin… pour ceux qui connaissent encore les chanteurs de cette trempe. Malgré une superbe version de « La corrida« de Francis Cabrel, Zazie le laisse échapper sûrement à cause de certaines consignes expliquées plus bas. (…)
>>> Voir la vidéo de sa prestation de « La corrida »
Yoann a une belle carrière devant lui si les producteurs de The Voice daignent annoncer la signature d’un contrat pour un talent devenu tellement rare de nos jours. Son interprétation de « I put a spell on you » est bluffante, Yoann met « le feu au plateau ». Si ce talent maîtrise le saxophone, il joue aussi du piano… un véritable artiste en somme…(…)
>>> Voir la vidéo de sa prestation « I put a spelle on you »
Comme indiqué précédemment (lire ou relire : The Voice, ce divertissement politique (VIDEO) MAJ La vidéo de Laurena « n’est pas disponible »), la jeunesse et la beauté l’emporteront sur la voix pour fabriquer des chanteurs jetables, les laissant dans la détresse, après avoir été rentabilisés à outrance.
Dans dix ans, tout le monde aura oublié ces « produits »…
Musique et éthique seraient-elles incompatibles ?
Si on n’aime pas, on zappe, n’est-ce pas ? Or, quand des personnes sont passionnées de chant (et qui ont de l’oreille), elle ne peuvent donc pas faire l’impasse sur cette émission qui, cependant, a dévié de son concept (américain) intelligent dès la deuxième saison.
Pourquoi l’émission The Voice est-elle un divertissement politique ? L’émission applique toutes les directives du gouvernement socialiste que les Français exècrent
On aimerait, d’ailleurs, connaître les critères de sélection avant les passages à l’aveugle devant les coachs, et au vu des deux dernières saisons, seules les originalités sont retenues : toutes les composantes sont représentées, surtout les « minorités »; on a tiré le gros lot si la voix n’est pas trop mal… Il est évident que dans les candidats présélectionnés, on va glisser de vrais chanteurs, pour faire genre…, qui ne seront pas retenus pour leur trop grand professionnalisme parce qu’ils ne feraient, probablement pas ce qu’on leur demande au pied de la lettre. Pas fous non plus…
L’imposture de The Voice se voit au fil des émissions
Conformément aux attentes du gouvernement, la parité est au rendez-vous avec la venue de Zazie, qui, certes, a une technique reconnue mais qui pêche par la justesse de sa voix. Difficile donc de juger quand on a soi-même un petit handicap…
Les familles des candidats sont souvent accompagnées de personnes issues de « la diversité » ou sens inverse, comme si c’était le lot quotidien des Français. On sent que The Voice fait un vrai travail de « pédagogie »…
On a choisi aussi des personnes avec des histoires tristes pour bien faire pleurer dans les chaumières Il en faut pour tous les goûts et il ne faut surtout oublier personne… Et puis, le voyeurisme, il parait que les gens aiment ça !
Le communautarisme se voit comme le nez au milieu de la figure.
Hiba Tawaji, la star libanaise n’est pas arrivée à The Voice par hasard, sans être sûre de ne pas être retenue par son compatriote, Mika, dont elle a choisi de rejoindre l’équipe (comme c’était déjà le cas la saison passée). On fera l’impasse sur le massacre de la chanson française (chantée en arabe) qu’elle avait choisie malgré une voix sublime…
Le paradoxe est que les quatre coachs se retournent sur la Libanaise mais restent impassibles sur une autre voix aussi pure, celle de Laurena, Française, pas intéressante… Même Florent Pagny qui ne cherchait que l’excellence dès la première saison surfe sur la vague de médiocrité.
Ecoutez d’abord Laurena, le bijou dont les coachs n’ont pas voulu, après sa prestations leurs arguments pitoyables, ce genre de chose qui rend furax et lire la suite
Les téléspectateurs français, subventionnant la « culture » et renâclant pour payer une redevance dont le rapport qualité/prix laisse à désirer ont dû se souvenir des propos d’ Aurélie Filipetti, Ministre de la Culture : « La lutte contre le Front National passe par la culture » et dû se dire qu’elle aurait mieux fait de se taire, la Culture n’ayant pas la même signification pour tout le monde.
Fallait-il cette honte nationale devant près de 70 millions de téléspectateurs pour se rendre compte que la « culture » façon socialiste allait droit dans le mur, et ce, depuis quarante ans ?
L’UMP est aussi coupable de ce vide sidéral puisque lorsqu’elle était au pouvoir, elle a reproduit les mêmes vieilles habitudes « gauchistes » des ingrédients du vide, à savoir minorités visibles et discrimination positive…
L’émission « The Voice » a, semble-t-il, subi les mêmes effets négatifs pour sa troisième saison (dont il sera fait un article plus précis après une finale mitigée).
Au même titre que le cinéma, la musique française touche les mêmes fonds abyssaux que le cote de popularité de François Hollande : quand ce ne sont pas des appels à la haine, à « niquer la France ou la police », les auteurs concoctent des gloubiboulgas indigestes malgré quelques irréductibles du verbe, espèce en voie de disparition à protéger de toute urgence…
La musique adoucit les moeurs ! 