Archives du mot-clé renseignement

Une gendarme soupçonnée d’avoir aidé un proche d’Amédy Coulibaly révoquée

 

L’adjudante était suspendue depuis février. Elle entretenait une relation amoureuse avec un homme suspecté d’avoir aidé le terroriste de l’Hyper Cacher et à qui elle pourrait avoir transmis des informations stratégiques.

Sur fond d’histoire d’amour, elle aurait livré des informations stratégiques au complice d’un terroriste. Plus de huit mois après les attentats de janvier, la gendarme soupçonnée d’avoir transmis des informations à un proche d’Amédy Coulibaly a été révoquée.

«Un conseil d’enquête a conduit à la radiation des cadres de l’adjudante», ce qui constitue, dans le cadre militaire, à une révocation pour les fonctionnaires, a annoncé, mardi, la gendarmerie nationale. Cette décision a été notifiée le 21 septembre dernier à la jeune femme, qui était suspendue depuis février. Elle dispose désormais d’un délai de deux mois pour effectuer un recours contre cette révocation.

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Sur le sujet :

Selon le « Canard », l’homme avait été mis sur écoute. La police espérait savoir s’il allait passer à l’acte. C’est là que les policiers vont avoir une énorme surprise : celle de découvrir que Amar R. est en couple avec cette gendarme de Rosny-sous-Bois. Emmanuelle, est sous-officier, convertie à l’islam portant le voile en dehors de son service, chargée du renseignement opérationnel au centre technique de la gendarmerie nationale.

Plus : 

Attentat de l’Hyper Cacher: Un complice d’Amédy Coulibaly discrètement libéré

 

Thalys-Marine Le Pen demande l’expulsion des étrangers fichés pour leurs liens avec l’islam radical

 

La présidente du Front national demande dans un communiqué que « les étrangers connus pour leurs liens avec l’islamisme radical ne soient désormais plus simplement fichés, mais qu’ils soient immédiatement expulsés du territoire français ».

Marine Le Pen a réagit ce dimanche à l’attaque menée vendredi dans le Thalys Amsterdam-Paris par un ressortissant marocain. L’homme était connu de plusieurs services de renseignements pour pour ses sympathies islamistes et faisait l’objet d’une fiche « S », qui désigne les personnes potentiellement menaçantes pour la « sûreté de l’État ».

« On constate malheureusement les très grandes faiblesses du fichage pour renseignement. Ce dispositif est défaillant parce qu’il s’interdit les vraies questions: pourquoi donc la France accepte-t-elle sur son territoire national un ressortissant étranger dont elle sait pourtant qu’il est potentiellement dangereux et lié à une idéologie meurtrière ? », s’interroge la présidente du Front national dans un communiqué.

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NDLR : au vu des attentats commis en France depuis 2012, il est légitime de se demander si les services de Renseignement, lesquels obéissent au gouvernement socialiste, ne se perdent pas à cibler la pseudo extrême-droite de France, au lieu des réels dangers.
Rappel : Des « bombes migratoires » envoyées par l’état islamique pour déstabiliser l’Europe (La Libre Belgique 23 avril 2015)

Sur le sujet :
 Cambadélis : le FN au pouvoir expulserait «4 millions de Français…  Réponse de Marine Le Pen :

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France – Le blogueur Boris Le Lay condamné à de la prison ferme (la réaction du blogueur en vidéo)

Oui, c’est bien en France que cela se passe

Déjà condamné à plusieurs reprises pour des propos xénophobes et antisémites, le blogueur nationale breton Boris Le Lay vient pour la première d’écoper d’une peine de prison ferme. Fondateur du site Breizh Atao, il a été condamné jeudi à six mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Quimper qui l’a reconnu coupable de provocation à la discrimination raciale. Le blogueur, qui serait installé au Japon et fait l’objet d’un mandat d’arrêt, n’était pas présent à l’audience. 20 Minutes


 

 


 

Plus : 

La justice française 37ème sur 43 pays européens derrière l’Arménie et l’Azerbaïdjan

 

 

Via AliciaFrance

AliciaFrance : les posts les plus vus en avril 2015

 

 

 

               
 

 

               
 

 

               
 

 

               
 

 

               
 

 

               
 

 

               
 

 

               
 

 

               
   

VIDEO.Loi Renseignement-Eric Zemmour: « c’est la parole qui est suspectée, pas le crime »

Éric Zemmour : « On nous bâillonne mais il faut auparavant qu’on dise merci »

 REPLAY / BILLET – La loi sur le renseignement est en discussion à l’Assemblée. Elle est la cible de reproches, à droite comme à gauche car elle porterait atteinte à nos libertés

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 Tous les amateurs de romans policiers vous le diront : on reconnait le coupable à ce qu’il parait le plus innocent de tous les suspects. Il a le meilleur alibi, il est le plus serviable auprès de l’enquêteur. En annonçant qu’il saisirait le Conseil Constitutionnel sur le projet de loi renseignement – une première pour un président de la République de la Vème- François Hollande s’est cru très malin et n’a fait que signer son crime. C’est la maladresse des habiles.

 D’abord, parce que à droite comme à gauche, de nombreux députés s’apprêteraient eux mêmes à le faire. Ensuite, parce que la saisine du Conseil n’est pas en elle même une garantie absolue pour les libertés publiques. 

Un esprit du « 11 janvier » très utile

L’histoire des décisions des hautes juridictions françaises n’est pas avare de petits calculs et de grands services. On se souvient que le Conseil d’État s’était empressé il y a quelques mois d’abolir une de ces jurisprudences les plus anciennes et les plus libérales pour complaire à Manuel Valls, qui voulait à toute force interdire les spectacles de Dieudonné.

  Ce texte sur le renseignement trouble le traditionnel clivage-droite -gauche. Il inquiète les esprits les mieux disposés, grands flics ou juges antiterroristes. Les garanties sont dérisoires et les risques immenses. Il profite du fameux « esprit du 11 janvier » pour légaliser une plate-forme nationale de cryptage et de décryptement (PNCD) qui permet depuis des années de recueillir et de stocker des données personnelles massives.

 Pour une efficacité fort réduite : on écoute tout le monde pour entendre quelques uns. On pêche au chalut pour attraper quelques poissons. On traque le délit d’opinion sans poursuivre le crime. On se refuse à interdire le retour sur le territoire des djihadistes à la manière anglaise; on n’ose pas descendre dans les banlieues pour mettre à jour les innombrables caches d’armes par peur des bavures. Alors, pour faire taire ce message qu’on ne veut pas entendre, on s’en prend au facteur. 

La loi sur le renseignement, inquiétante ?

Cette loi sur le renseignement doit être mise en relation avec le plan, annoncé la semaine dernière, par le premier ministre pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme. Désormais, on fait basculer tout ce délit du racisme dans le code pénal, alors qu’il relevait jusque là d’un droit de la presse éminemment protecteur. Et on en profite au passage pour serrer encore la vis à internet. Une fois de plus, c’est la parole qui est suspectée, pas le crime. On sort de plus en plus du cadre démocratique qui respecte toute opinion, même celle qui dérange ou choque, pour un discours moralisateur et compassionnel, qui traque le dérapage de manière obsessionnelle.

  Non seulement ces lois sont liberticides, mais elles privatisent le droit au profit de communautés à qui on reconnait une protection particulière, représentées qu’elles sont par des associations qu’on arrose de subventions publiques pour mieux réduire la liberté de parole.

 Ces lois anti-républicaines sont prises au nom de la défense de la République. On nous oblige à renoncer à nos libertés au nom de la sauvegarde de la liberté. On nous bâillonne, mais il faut auparavant que l’on dise merci. RTL

VIDEO RTL – Loi renseignement : « Une arme redoutable entre de mauvaises mains », s’inquiète Marc Trévidic

« Marc Trévidic dénonce les dérives de la loi sur le renseignement

Le juge antiterroriste a souligné les dérives liberticides du projet de loi sur le renseignement débattu à l’Assemblée nationale à partir du 13 avril.

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Au micro d’Yves Calvi, le juge antiterroriste Marc Trévidic a dénoncé les risques potentiels de la loi sur le renseignement actuellement en débat à l’Assemblée : « Quand une loi me paraît dangereuse, je suis inquiet ». Le texte de loi doit donner un cadre légal aux pratiques, souvent officieuses, des services de renseignement, notamment en matière d’interceptions des appels, des SMS et des mails. Une surveillance extrajudiciaire, avec l’aval du premier ministre, qui prévoirait également la mise en place de « boîtes noires », observant les données de connexion de tous les internautes. 

« Il y a une absence de contrôle totale dans cette loi » estime le juge, évoquant le manque de protection des citoyens vis à vis de l’Etat dans le projet de loi. Pour le juge, attaché aux libertés individuelles, cette loi constitue une « arme redoutable » si elle est mise entre de « mauvaises mains ». « C’est une loi qui peut être utilisée à mauvaise escient » insiste celui qui a travaillé aux affaires terroristes les plus sensibles. Il a notamment été chargé d’instruire l’affaire des moines de Tibhirine, tués en Algérie en 1996 ou celle de l’attentat de Karachi en 2002. Un poste qu’il estime « très lourd à porter ».

« Soulagé de partir  » confie t-il, le juge star du parquet de Paris, sur le point de quitter son poste après dix ans d’exercice, comme le prévoit la loi, a par ailleurs rappelé la difficulté d’exercer ses fonctions comme tout autre juge : « C’est tellement politique comme domaine qu’un juge n’y trouve pas forcément son intérêt ». Marc Trévidic exercera à compter de mai 2016 ses nouvelles fonctions en tant que vice-président du Tribunal d’Instance de Lille. »

Sur le sujet : 

Loi Renseignement : Pour Bernard Cazeneuve les identitaires sont des terroristes…

Loi Renseignement : Pour Bernard Cazeneuve les identitaires sont des terroristes…

Source : LCP.fr : Le ministre de l’Intérieur estime que ces groupuscules proches de l’extrême droite, peuvent se trouver à « l’origine de violences portant atteinte aux principes fondamentaux de la République ».

« Notre objectif est, par des mesures de police administrative, sous le contrôle du juge des libertés, de prévenir des atteintes graves à la paix sociale. »

Mardi, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve était auditionné par la commission des lois à propos du projet de loi sur le renseignement.
Le mouvement identitaire ciblé
Le ministre a répondu au député socialiste Pascal Popelin, qui annonçait que le groupe SRC envisageait de déposer un amendement précisant le champ d’action des services de renseignement. Dans sa rédaction actuelle, regrette le député, le texte permet des « interprétations extensives” qui pourraient être utilisées « à l’encontre des mouvements sociaux ».
Bernard Cazeneuve a souhaité rassurer son interlocuteur en précisant l’objet du projet de loi. Dans son viseur : les mouvements identitaires d’extrême droite. « Que les choses soient claires, a-t-il lancé, ces mouvements, en raison des actions qu’ils déclenchent, peuvent se trouver à l’origine de violences portant atteinte aux principes fondamentaux de la République (…) Lorsque ces mouvances se proposent d’aller à la sortie des lieux de culte pour procéder à des agressions, devons-nous prévenir ces actes ou les laisser se déployer ? »
Après la déculottée aux élections départementales, sourd au vote des Français, le gouvernement poursuit la distillation de haine et de division et sa destruction de la France.
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