Les Verts, Jean-Luc Mélenchon, l’Allemagne… Pour le journaliste, la gauche ne tient plus rien.
« Ils transpirent, mais ce n’est pas la chaleur… enfin pas seulement. Ils s’énervent, mais ce n’est pas la colère… enfin pas seulement. Ils se congratulent, mais ce n’est pas pour l’image… enfin pas seulement », lance Éric Zemmour, qui constate que « tout claque entre les doigts de la gauche ». On croit que les divergences entre l’aile droite et les « frondeurs » du Parti socialiste sont profondes et irréversibles ? « Elles sont en vérité mineur pour un parti qui connut les affrontements homériques entre Jaurès et Guesde, Blum et Déat, Mitterrand et Rocard », poursuit le journaliste.
Pour lui, « c’est parce que la gauche a gagné la bataille des valeurs qu’elle ne s’est pas rendue compte qu’elle avait perdu la bataille de la réalité ».
Tout le vocabulaire de Bisounours chéri des socialistes se retrouve peu à peu dans les poubelles de l’Histoire