Une découverte glaçante a été faite au Khyber Pass à Nottingham, un endroit qui vend des sandwiches kebab. Tel que rapporté par le Daily Mail, les restaurateurs, Abdul Basit et Amjad Bhatti, avaient contaminé la viande avec des excréments humains, forçant au moins 142 personnes à l’hôpital. Les mis en cause ont aussi été obligés de payer 28 mille livres (environ 37 mille euros) en compensation.
De la Hongrie à l’Autriche . Les dons de nourriture et de vêtements on été jetés.
Un aide soignant a été frappé par le mari d’une femme enceinte voilée qui refusait qu’elle soit examinée par un homme
Un aide-soignant de 34 ans a été frappé de deux coups de poings au visage par le mari d’une patiente. Les faits se sont déroulés le dimanche 9 août dernier, aux urgences de la maternité de l’hôpital Pellegrin de Bordeaux. L’homme et la femme, qui portait un voile sur les cheveux, sont arrivés vers 20 heures. Enceinte, la femme connaissait un problème et souhaitait être examinée. Mais pour des raisons religieuses, l’homme s’est opposé à ce qu’elle soit prise en charge par un soignant masculin.
Alors qu’il était auprès d’une autre patiente dans une chambre, l’aide-soignant a entendu une voix masculine qui vociférait à l’accueil. Il est sorti et a vu une de ses collègues aux prises avec le mari de la femme enceinte. L’aide-soignant s’est approché pour tenter de calmer l’homme qui s’est alors tourné vers lui, menaçant.
L’aide soignant l’a repoussé et a reçu en retour les deux coups de poings. Il a déposé plainte et s’est vu reconnaître une interruption totale de trois jours par le centre d’aide en urgence aux victimes d’infraction de l’Institut médicolégal de Bordeaux.
La plainte, pour violence, déposée au commissariat de Bordeaux, a été transmise à la brigade de gendarmerie de Libourne, lieu de résidence du couple.
En France, en 2015 : il refuse que sa femme voilée soit examinée par un homme et agresse le personnel hospitalier. http://t.co/q8zuQa1Cjp
— Stéphane Ravier (@Stephane_Ravier) 20 Août 2015
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FIGAROVOX/TRIBUNE – Une jeune femme belge en dépression, demande à mourir. Son histoire a ému des personnes du monde entier. Pourtant en Belgique, estime Xavier Lombard, les dérives liées à l’euthanasie continuent.(…)
Laura, 24 ans, demande l’euthanasie. Le monde s’émeut, les Belges s’en désintéressent.
La vie de Laura ne laisse pas indifférent. Le couple formé par ses parents est pris dans une spirale de violence, de maltraitance et d’alcool. La garde de Laura est retirée à ses parents avant ses six ans. Elle sera élevée pendant plusieurs années par sa grand-mère. (…)
La demande d’euthanasie de Laura acceptée par trois médecins belges a déclenché un grand nombre de réactions dans les médias internationaux, Newsweek ou NYDailynews par exemple. Comment ne pas s’étonner du silence assourdissant du monde politique belge? Ce silence est perçu comme une complicité.
Le 23 juillet 2015, les médias annoncent bruyamment que le CHU de Reims ne se prononce pas sur le l’arrêt des soins de Vincent Lambert, et pour cause, ce n’est pas le rôle de l’hôpital, quel qu’il soit, de décider qui doit vivre ou mourir surtout sans un consensus préalable incluant la famille.
« l’équipe médicale et le docteur Daniela Simon, en charge du cas de Vincent Lambert, au CHU de Reims, ont décidé de ne pas stopper l’alimentation de Vincent Lambert. »
Ne pas alimenter ou ne pas hydrater un patient, dans ce cas précis, serait considéré comme un signe de maltraitance ; tous les médecins et soignants le savent parfaitement.
« Le patient maintenu en vie« , dans le cas contraire, c’est l’équipe médicale qui aurait été mise en cause.
Tout cela n’est que pure communication afin de calmer les « intégristes » qui ont l’outrecuidance de faire montre d’humanité.
Ce qu’il faut retenir plutôt, c’est qu’au vu du conflit déchirant la famille Lambert dont les arguments des protagonistes sont audibles et compréhensibles,
« Le docteur Daniela Simon a également indiqué la nécessité de saisir le procureur de la République de Reims pour qu’une demande «aux fins de tutelle» soit faite. Il s’agit, par cette procédure, de désigner qui sera à l’avenir le représentant légal de Vincent Lambert.(…) Personne n’est officiellement chargé de représenter les droits et les intérêts du patient, en état végétatif. Vincent Lambert n’avait en effet désigné aucun tiers ou personne de confiance ni rédigé de directives anticipées pour faire connaître ses volontés. La parole de son épouse Rachel, en faveur de l’arrêt des soins, avait néanmoins été privilégiée dans tous les processus médicaux et judiciaires. » Source
Ce sera donc à la justice de désigner une tierce personne qui ne devrait avoir aucun lien avec les parties afin de gérer les échanges et dotée du recul nécessaire à ce genre de situation. Il est à espérer que cette personne ne sera pas proche du gouvernement socialiste favorable à l’euthanasie essayant, par tous les moyens, de la légaliser au motif d’humanité, de liberté de choix avec les dérives que l’on peut imaginer (Lire : Belgique : 24 ans et en «souffrance psychique», elle obtient le droit d’être euthanasiée 02/07/2015)
(…)
Quand on fait le tour des forums des journaux nationaux traitant du « cas » Vincent Lambert, on découvre des commentaires de charognards demandant la mise à mort de la « bête » ; essayez de glisser un plaidoyer en faveur du patient (tout en respectant la charte de modération), il ne passera pas, il sera censuré… ou comment faire croire qu’une vindicte populaire est majoritaire...
Près de 120 millions d’euros: c’est le montant de la dette accumulée par les pays étrangers, à la fin 2014, à l’égard de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui propose un plan d’action pour éviter ces excès, selon un document interne consulté jeudi par l’AFP.
D’après un bilan présenté le 7 juillet par la direction en commission médicale d’établissement (CME), les sommes non recouvrées par les hôpitaux de l’AP-HP auprès de patients, français ou non, résidant à l’étranger, ou de leurs assureurs, s’élevaient à 118,6 millions d’euros au 15 novembre 2014.
Ce chiffre, qui ne concerne pas les patients étrangers résidant en France, de manière régulière ou non, équivaut à plus du double du déficit du compte principal (activités de soins) de l’AP-HP, soit 49 millions d’euros en 2014.
Parmi les pays les plus redevables, l’Algérie arrive en tête, avec 31,6 millions d’euros, suivie du Maroc (11 millions), des Etats-Unis (5,7 millions), de la Belgique (4,9 millions), de la Tunisie (4,7 millions) et de l’Italie (4,1 millions).
De 2010 à 2014, le nombre de séjours liés à l’accueil de patients domiciliés à l’étranger a crû de 9,8%, avec, en 2014, des séjours plus nombreux pour l’Algérie, le Maroc, l’Italie et le Koweït.
Selon le médecin, il y a bien un lien entre la prise d’agomélatine par le copilote de l’A320 de Germanwings et le crash de l’avion.
L’enquête sur le crash de l’A320 de Germanwings a montré que le copilote aux commandes lors du drame était sous antidépresseurs. Bernard Debré, médecin et diplômé de médecine aéronautique et spatiale depuis 1981, avait expliqué au Point.fr que le traitement d’Andreas Lubitz pouvait avoir un lien avec son geste. Le président du Collège national des universitaires de psychiatrie, Pierre Thomas, avait alors réagi vivement, expliquant que « ce ne sont pas les antidépresseurs qui provoquent les suicides, mais la dépression », et assurant que ces médicaments ont une réelle efficacité.
Mais Bernard Debré persiste à établir un lien entre le traitement du copilote et le crash de l’avion. Le médicament pris par Andreas Lubitz était de l’agomélatine, un médicament décrit par le psychiatre Xavier Pommereau (cité par RTL) comme un antidépresseur « utilisé en deuxième intention lorsque les premiers antidépresseurs sont inefficaces ». Un traitement « très fort et de longue durée », « incompatible avec le pilotage », précise le psychiatre, qui estime que l’on « ne prescrit pas ce type de produits sans connaître le métier du patient. Dans le cas où il le savait, il faut avertir, sous le secret médical, le médecin du travail ».
« J’ai reçu des parents dont la fille de 19 ans s’est suicidée après avoir été seulement six jours sous agomélatine. Ils n’avaient jamais entendu parler de potentiels effets secondaires. S’ils en avaient été avertis, nul doute qu’ils auraient procédé autrement », raconte Bernard Debré. « Les parents avaient en effet trouvé si étrange le comportement soudainement désinhibé de leur fille, après deux jours de traitement seulement, qu’ils l’avaient emmenée aux urgences de Sainte-Anne au bout de trois jours. Aucun des deux médecins consultés sur place n’a fait le lien entre la molécule qu’elle prenait et son changement de comportement ! Mais le lendemain de sa sortie de l’hôpital, la jeune femme se défenestrait. »
Plusieurs cas de tuberculose se sont déclarés parmi les policiers de la CRS 20 de Limoges (Haute-Vienne). Selon un témoignage recueilli par France Bleu Limousin, un premier fonctionnaire s’est déclaré atteint de la maladie, puis bientôt trois, et enfin cinq, sans que la hiérarchie prenne de mesures pour endiguer l’épidémie.
Ces cas sont d’autant plus inquiétants que les policiers des CRS (Compagnies républicaines de sécurité) vivent en groupe et se déplacent environ 200 jours par an. Actuellement, cette compagnie est ainsi en mission à Calais, ville confrontée à un afflux de migrants venus d’Afrique et du Moyen-Orient qui tentent de s’introduire clandestinement au Royaume-Uni.
Les policiers de la CRS 20 réclament de l’administration un plan de dépistage systématique. Ils exigent également que leurs collègues chez lesquels la maladie a été dépistée bénéficient d’un arrêt de travail pour éviter toute contagion. Selon France Bleu Limousin, la hiérarchie policière ne dément pas ces cas de tuberculose mais affirme qu’il s’agit d’un problème de santé personnel.
(…) Le Parisien
Trisomie: »Louise, quatre mois mois, «a deux bras, deux jambes, des bonnes grosses joues et un chromosome en plus «